Michel Est Marié, Aline Est Un Peu Trop Libre Et Ça L’Excite

C’est grand jour, après l’église nous faisons la fête dans la salle communale, il y a tout le village et la famille d’Aline de la ville. Tout le monde mange, boit, danse, chante, se dispute… en tout cas il y a de l’ambiance.

Ma jeune femme enchaine les verres et danse un peu trop collée avec certains hommes. Mais au lieu d’être jaloux je suis excité, je sens mon slip se remplir. J’hésite un court moment à aller me masturber aux toilettes mais ce soir je vais enfin pouvoir faire l’amour à celle qui vient de devenir ma femme.

Les derniers partent vers 2 heures du matin, Aline est dans un sale état. On va passer notre première nuit ensemble dans ma nouvelle ferme. Un cousin d’Aline nous fait chauffeur, assis sur la banquette arrière ma femme me caresse la nouille à travers le pantalon de mon costume. Je vois son cousin jeter des coups d’oeil dans le rétroviseur.

Une fois arrivé à la maison j’aide, tant bien que mal, Aline a monté jusqu’à la chambre et se déshabiller. Elle est en sous vêtement quand elle se laisse tomber sur le lit. Pendant que je me déshabille, ma femme enlève sa culotte puis ouvre en grand ses jambes et me dit:
« Viens enfin me sauter! »
Une fois en slip je m’approche du lit, Aline commence à ronfler. Je m’allonge à côté d’elle et je commence par lui embrasser le visage puis les lèvres. Elle se laisse faire et mes répond à mes baisers alors je lui caresse le sexe au milieu d’une forêt de poils. Plus mes doigts s’agitent sur elle plus sa chatte est mouillée, elle commence aussi à gémir.

Aline se réveille tout doucement, pose sa main sur mon slip et me tripote la bite qui commence à durcir. Avec son autre main, qu’elle met sur la mienne, elle pousse 2 de mes doigts dans sa grotte, je les rentre sans aucun problème en elle. Je les fais aller venir depuis quelques minutes quand je retire mes doigts de son sexe, ils sont très humides, je m’attend à voir mais rien.

Je me lève et me déshabille entièrement, elle lève la tête vers moi et regarde mon entrejambe que je cache avec mes mains et elle me dit:
« Viens sur moi! »
Maladroitement je m’allonge sur elle mais je n’arrive pas à la pénétrer et en plus je commence à débander quand Aline me dit:
« Tu attends quoi? Tu ne trouves pas le trou? » et elle rigole.



En l’entendant ma nouille gonfle de nouveau, Aline lève les jambes et les pose sur mes épaules et rajoute:
« Comme ça tu devrais y arriver! »
Je suis tout raide, j’att à 2 doigts ma petite bite et je me frotte contre ses grandes lèvres. Je sens mon sexe s’humidifier, je pousse pour m’enfoncer mais je ne trouve pas le trou. Après plusieurs tentatives je rentre enfin, c’est tout chaud et moite.

Je bouge en elle depuis plus d’une minute quand elle me dit:
« Même comme ça tu n’y arrives pas!?! »
« Mais je suis dedans! »
« Ah bon! »
Et pendant qu’elle dit sa je sens mes petites couilles durcir et mon sperme sortir de ma nouille. Ma bite se rétracte et sort de son vagin alors que je ne bouge plus, là non plus pas de sang.

Alors qu’Aline ronfle déjà je me dépêche de remettre mon slip. Ensuite je l’installe comme il le faut dans le lit et je m’allonge à côté d’elle. Malgré la fatigue et l’alcool je n’arrive pas à m’endormir, je n’arrête pas de penser au fait qu’il n’y ait pas eu de sang après qu’on est fait l’amour. Est ce qu’elle avait fait l’amour avec un des garçons à la plage naturiste? (Voir la première partie de l’histoire) Peut être même à une autre occasion. Ou alors est ce que mon sexe est trop petit et je n’ai même pas réussi à atteindre son hymen?

Le début de notre vie de couple marié est calme. Je travaille beaucoup, Aline m’aide presque pas. Elle passe ses journées à la maison ou à se balader et on se retrouve pour le déjeuner et le diner. Environ une fois par semaine nous faisons l’amour, soit elle me caresse et me suce mais ne prend jamais mon sperme dans sa bouche. Sinon elle m’apprend à lui lécher le sexe, elle semble y prendre du plaisir parce que souvent elle me demande de lui faire que ça mais je n’aime pas trop. Il m’arrive aussi de la pénétrer mais j’ai l’impression qu’elle ne sens rien et ça dure rarement assez longtemps.

Au bout de quelques mois, Aline trouve un travail en ville à la maison de la presse.
Elle est rapidement de plus en plus contente d’y aller, en plus elle s’habille de mieux en mieux pour aller travailler. Maintenant j’ai même remarqué que ses poils pubiens sont entretenus, les rares fois où je la vois nue. Quand nous faisons l’amour et que j’essaye de la pénétrer, Aline commence à me dire que mon sexe est vraiment beaucoup plus petit que les autres.

Plus le temps passe plus elle en rajoute en me traitant d’éjaculateur précoce, ou qu’elle s’est fait avoir parce que non seulement ma « petite bite » est ridicule et qu’en plus je ne sais pas m’en servir. A chaque fois qu’elle me dit ces choses j’ai honte mais je sens ma nouille remuer et j’éjacule immédiatement.

Au bout de 3 mois, elle m’annonce que son patron à mis un studio à sa disposition pour qu’elle n’est pas à faire le trajet tous les jours. C’est vrai qu’Aline part de la maison tous les matins à 5 heures et qu’il lui arrive rentrer très tard mais je lui ai acheté une voiture pour qu’elle soit indépendante. Je ne sais pas trop comment réagir, je préfère ne rien dire.

C’est étrange de se retrouver seul à la maison le soir, je me fais de films sur ce qu’elle peut faire surtout que les gens autour de moi commence à parler. J’entends beaucoup de rumeur comme quoi elle me trompe avec son patron. Quand j’y réfléchis nous seulement je me dis que c’est tout a fait possible mais en plus je bande. J’ouvre mon pantalon, je sors ma nouille et après seulement 5 ou 6 allers retours j’éjacule.

Un jour, Aline rentre après 3 nuits sans être rentré à la maison et sans rien me dire ni même m’embrasser elle s’affale dans le canapé et allume la télé. Je vais la rejoindre et lui demande gentiment comment elle va mais elle me répond agressivement:
« Mal! »
Je m’assoie à côté d’elle et je pose une main sur sa cuisse, elle me repousse alors je lui demande:
« Tu as des problèmes au travail? »

Je l’entends respirer fort puis elle se lève et commence à me dire qu’elle ne mérite pas une telle vie, qu’avec moi elle ne se sent pas femme, que je la baise mal, elle rajoute « Si on peut appeler ça se faire baiser » puisqu’elle ne sent jamais rien…
Une fois qu’elle se calme et se rassoie je lui demande calmement:
« C’est pour ça que tu me trompes avec mon patron? », et je baisse la tête.

Après un moment de silence qui m’a paru interminable sans aucune hésitation elle me répond:
« Aussi »
Je sens que je bouillonne à l’intérieur mais je bande; qu’est ce que veut dire ce « aussi »?

Je vais pour finir de préparer le repas quand elle rajoute sur un ton aussi énervé qu’avant:
« Tu te rencontres comme tu pues à cause de tes animaux, je m’emmerde avec toi, en plus la maison est déguelasse. Quand je rentre j’ai envie d’être bien chez moi alors à partir d’aujourd’hui je veux que tu fasses le ménage. »
Elle se calme un peu et juste quand elle commence à se rassoir, elle se tend à nouveau et rajoute:
« Et ton petit verre de terre qui pendouille entre tes jambes… Tu es sur d’être vraiment un homme??? »
Je bande comme un fou.
« Tu te rencontres de ce que j’endure à cause de toi. Je suis obligé de te tromper pour avoir du plaisir. Tout ça à cause de toi et ton petit truc… »

Je suis rouge de honte d’autant plus que j’ai joui dans mon slip sans même me toucher, je dois aimer être rabaisser. Je vais vite finir le repas pour qu’elle se calme, je ne veux pas qu’elle parte, même si je suis sur maintenant qu’elle me trompe. J’ai trop peur de me retrouver seul et en plus vue l’état de mon slip ça n’a pas l’air de me déplaire.

Pendant le repas elle me dit que ce week end elle ne sera pas là, il y a une fête foraine et elle y va avec sa cousine, elle me précise qu’elles dormiront au studio. Je ne sais pas d’où ça lui est sorti mais elle ajoute:
« A partir d’aujourd’hui je veux que dès que tu as fini de travailler du prennes une douche pour moins sentir le vieille animal. Tu sais quoi tu te laveras à la grange comme ça tu ne feras pas rentrer cette odeur dans ce taudis! Et une fois dans la maison tu resteras nu tout le temps, même pour cuisiner et faire le ménage. Comme ça tu seras tout le temps confronter à ton handicap, enfin si tu arrives à la voir! »

Franchement je ne sais plus quoi dire mais comme je pense que si je lui refuse quoi que ce soit elle va partir je suis obliger d’obéir.
A la fin du repas, une fois que j’ai tout débarrassé seul, Aline me précise que ça commence maintenant que je dois aller me doucher et qu’ensuite je dois rester nu. Je m’exécute et pendant que je me lave je me masturbe en repensant à toutes les méchanceté qu’elle ma dit.

Les mois défiles, Aline est de plus en plus absente et chaque soir où je suis seul je me branle en l’imaginant dans les bras de son patron ou d’autres hommes. En plus les moments où elle est à la maison, elle râle beaucoup. Nous faisons plus du tout l’amour, quand je lui dit que j’en ai envie, des rares fois elle att à deux doigts ma petite bite et en moins d’une dizaine d’aller retour ma femme me fait éjaculer. Elle ne me suce même plus!

Elle passe de plus en plus de temps chez nos voisins, elle semble bien les apprécier. A chaque fois que je lui propose de les inviter pour un repas elle refuse mais un jour, alors que je fais le ménage nu, elle me dit que le dimanche suivant Georgette et Marcel (nos voisins) vont à la mer et nous propose de les rejoindre. Je lui dit que c’est avec plaisir, je vais enfin pouvoir faire leur connaissance.

Le dimanche nous prenons notre voiture et après presque une heure et demi de route nous arrivons. Georgette et Marcel sont déjà là depuis un moment, même si se sont nos voisins c’est la première fois que je les vois. Ils ont une quinzaine d’années de plus que nous. Marcel est très grand plutôt carré mais avec un petit ventre, il est aussi très poilu et porte un maillot de bain genre boxer très moulant. Au repos il doit faire le double de moi en érection!
Georgette est une petit blonde un peu ronde, elle porte un maillot de bain une pièce qui met en valeur sa poitrine plus que généreuse. Elle est très souriante et agréable.

Nous passons tous les 4 un bon moment même si je reste un peu en retrait, je garde mon short parce que j’ai honte qu’il devine la taille de mon sexe à travers le maillot. A un moment je propose à ma femme d’aller se balader mais elle refuse. Georgette propose de m’accompagner mais je décline poliment et un peu gêné, sa proposition. Un peu plus tard Marcel propose à Aline d’aller se baigner, elle accepte immédiatement. En se levant il propose à sa femme de les accompagner mais pas à moi. Ils partent tous les 3 et je reste seul sur ma serviette.

Dans l’eau, ils ont l’air de bien s’amuser, je les trouve même un peu trop collés. Je me demande si ma femme me trompe aussi avec Marcel, mais sa voudrait dire que Georgette est au courant! En réfléchissant à tout ça je sens que je bande. Quand ils me rejoignent plus d’une demi heure après, je pense toujours qu’à ça!

Notre journée c’est tellement bien passée que nous renouvelons l’expérience tous les dimanches. La troisième semaines au moment de repartir, Marcel dit à ma femme:
« Tu montes plutôt avec moi comme ça tu vas pouvoir me distraire pendant la route. »
Sans même me demander elle accepte et du coup Georgette voyage avec moi. Le trajet est très silencieux. Quand nous arrivons devant sa ferme, je lui fais la bise pour lui dire au revoir et je rentre chez moi.

Une fois à la maison je vais vite me doucher et je reste entièrement nu comme Aline me la demander. Je fais un peu de ménage et de rangement en attendant le retour de ma femme, je commence même à cuisiner le diner. Elle est arrive au moins 1 heure et demi après moi. Quand elle rentre et me voit nu, elle regarde mon entrejambe et se dit à elle même:
« J’ai l’impression qu’elle est de plus en plus petite! »
Je n’ose rien demander sur son retard. Elle va se doucher et se changer et nous dinons dans le plus grand silence.

Maintenant nos semaines sont au moins 4 nuits par semaine chacun de notre côté, heureusement qu’elle rentre presque tous les week end. Tous les dimanches on va à l‘océan avec nos voisins et tous les retours je les fait avec Georgette. Une fois alors que je dépose ma voisine chez elle avant de sortir de la voiture, elle pose sa main sur ma cuisse est commence à remonter doucement vers ma nouille et me dit:
« Tu ne veux pas venir chez moi, je ne crois pas qu’ils vont rentrer tout de suite! »
Je retire sa main avant qu’elle monte trop haut et qu’elle touche mon ridicule sexe et décline son invitation.

Le dimanche suivant sur le retour Georgette me demande de m’arrêter pour un besoin urgent. Je m’arrête près de quelques arbres et je reste dans la voiture pour la laisser faire ce qu’elle a faire. Une fois qu’elle revient j’y vais à mon tour, j’avance beaucoup pour être sur de ne pas être vu. J’ai l’impression d’être suivi mais à chaque fois que je me retourne, personne!

Je trouve un endroit protégé, j’ouvre ma braguette et je sors mon petit zizi. Une fois que j’ai fini je secoue ma nouille, je sens une présence derrière moi. Je me dépêche de tout ranger mais des mains fermes m’immobilisent et me retournent. C’est Georgette, je cache mon sexe avec mes mains mais elle s’agenouille devant moi et écarte mes bras puis dit:
« Ta femme n’exagérée pas! »
Elle me caresse tout le petit costume trois pièces d’une seule main pendant un moment. Je suis tellement tétaniser que j’ai du mal à bander. Mais ça fait trop longtemps que ma femme ne m’a pas touché que je me laisse aller et me vide dans la bouche de Georgette très rapidement.

Quelques semaines plus tard Aline rentre à peine une vingtaine de minute après moi, elle est très énervée et c’est la dernière fois que nous avons vu nos voisins. A chaque fois que nous passons devant leur ferme et que je propose à ma femme d’aller les saluer, elle refuse et s’énerve. Je n’ai jamais su ce qui c’était passé.

Cette semaine, le lundi vers 22 heures, alors que je suis dans le lit et que je me suis branlé il y a 15 minutes en imaginant ma femme faire l’amour avec son patron, j’entends du bruit en bas. J’enfile un peignoir et je descend voir, c’est Aline qui rente. Je ne pose pas de questions mais l’accueille avec plaisir. Je suis vraiment content de la voir.

Les jours suivants, elle était à 18 heures à la maison, je ne demande rien. Le jeudi alors que nous sommes au lit, je demande à ma femme de faire l’amour même si je sais qu’elle va juste me branler mais étonnant elle accepte. Elle se met en levrette pour qu’elle me sente mieux mais ça ne change rien et je jouis quand même en moins d’une minute.

Alors que nous sommes allongés dans le lit, elle met sa main sur mon torse, me caresse et commence à me dire:
« Tu sais au début je t’aimais bien mais je ne t’ai jamais caché que je me suis mariée avec toi pour être libre.
Mais même si pendant notre lune de miel, j’avais peut être trop bu, je n’ai rien senti et les fois suivantes ça a été la même chose, alors que j’avais garder ma virginité pour toi! ».

Elle me caresse toujours le torse et je commence à bander même si j’ai éjaculé il y a seulement quelques minutes, Aline continue et je l’écoute en silence:
« C’est vrai qu’à la plage naturiste j’avais bien commencé à comprendre que ton sexe était plus petit que la moyenne, mais.. »
Elle laisse un moment de silence et ajoute:
« Je vais te raconter la première fois que j’ai couché avec un autre homme pour que tu comprennes pourquoi je fais ça mais je vais pas que tu m’interrompes »
J’accepte alors elle commence à me raconter.

« Je travaillais dur depuis 1 mois à la maison de la presse, mon patron qui a cinquante ans, me faisait des réflexions graveleuses tous les jours comme « Je suis sur que tu adores le sexe » ou « Tu dois être une bonne salope au lit! ».
Je ne pouvais même pas répondre à ses questions puisque j’étais frustré avec toi au lit, en plus comme je savais qu’il était marié je n’y ai pas prêté attention.
Un soir après le travail, il me propose de m’offrir un apéritif pour faire plus connaissance. J’accepte en me disant que ça peut être bon pour ma carrière. »

« Il m’a amené dans le studio ou je vis maintenant. Il a sorti du frigo une bouteille de Dom Perrignon, c’était la première fois que j’en buvais. Très vite les bulles me sont montées à la tête. Il a mis de la musique et j’ai commencé à danser langoureusement aidé par l’alcool. A chaque fois que mon verre se vidait, il le se dépêcher de le remplir. »

« Quand il m'a versé mon quatrième verre je me suis assise sur le canapé, j’avais la tête qui tourne. Je l’ai bu tout doucement et une fois vide, j’ai posé mon verre pour arrêter de boire. C’est alors qu’il m’a dit sur un ton très autoritaire « Debout! ». J’ai pas réfléchis ni là ni pendant la suite et non seulement je me suis laisse faire en plus j’ai obéi. »
Sa main est toujours sur moi mais ne me caresse alors que j’ai l’impression que l’autre se balade sur son entrejambe.

« Une fois debout, il m’a ordonné de me déshabiller, je me suis mise entièrement nue. Ils s’est moqué de ma chatte un peu trop poilu et m’a dit qu’il faudra que je m’en occupe. Ensuite il s’est levé et m’a regardé droit dans les yeux et m’a dit:
« Tu n’es qu’une pimbêche mais je sens que tu aimes la bite! »
J’ai senti mon sexe dégouliner comme quand tu me doigtais ou me léchais et encore plus quand il a posé ses grosses mains sur mes épaules et m’a fait m’agenouiller ».

Je bande comme un fou sous le drap, j’ai très envie de me caresser en l’écoutant surtout qu’elle sens prive pas(en faite j’ai plus en vie qu’elle me caresse), mais me connaissant je vais trop rapidement jouir. Je reste immobile et je l’écoute me raconter ponc de gémissements provoqué par sa main:
« Il a ouvert son pantalon qu’il a baissé et je me suis retrouvé en face d’une vraie grosse queue, ça me changeait de la tienne! Sans même réfléchir j’ai commencé à le sucer, apparement maladroitement mais après qu’il m’ait donné des indications je me suis débrouillée de mieux en mieux. »

« Il a attrapé ma tête et me baisé la bouche qui était enfin vraiment rempli pour la première fois. Après un bon moment, il m’a fait reculé et s’est assis dans le canapé. Il m’a attrapé par la taille et ma tout doucement empaler sur sa grosse bite. C’était la première fois que je sentais vraiment quelque chose à l’intérieur de mon sexe. Au début j’avais même mal tellement que ça tiré! »

« Rapidement mon vagin s’est décontracté et il m’a pilonné avec tellement de vigueur que j’ai joui pour la première fois. Lui était loin de l’orgasme, ça aussi ça me changeait, puisqu’il a eu le temps de me faire jouir encore une fois en levrette avant de se vider en moi. »

En finissant de me raconter ça Aline crie son plaisir alors que je sens du sperme couler de mon zizi. J’avais jamais pris autant de plaisir sans même me toucher et ma femme l’a compris. Surtout que pour en être sur, elle pose sa main sur mon entrejambe et sent tout le sperme que j’ai sorti bien que j’avais déjà joui en elle peu de temps avant.

Elle se redresse dans le lit, s’essuie dans le drap et me dit:
« Maintenant que je sais ce qui t’excite vraiment on va enfin pouvoir s’amuser ensemble! ».
Ma femme se tourne et s’endort.

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